« Cet individu, qui est toujours en liberté grâce à la politique humanitaire de l’Azerbaïdjan servant à mettre fin aux discordes entre les peuples et basée sur la compréhension et la réconciliation, a maintenant décidé de nuire de nouveau à l’intégrité territoriale et à la souveraineté de l’Azerbaïdjan.
La personne en question a mentionné que les groupes séparatistes continuent d’opérer sur le territoire arménien, a appelé les forces extérieures, notamment celles en France, à s’immiscer dans les affaires de la région et s’est opposée à l’établissement de la paix entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie. Ces éléments séparatistes se présentent comme un « gouvernement migrant », un « président » ou un « ministre », alors que le gouvernement arménien ferme les yeux sur cela.
Ce n’est pas un hasard si l’interview a été publiée par l’un des organes de presse français. Certaines forces, dirigées par la France, tentent de réaliser leurs intentions géopolitiques néfastes dans la région et ne veulent pas permettre l’instauration de la paix dans la région, essayant par tous les moyens d’accroître les tensions. La militarisation de l’Arménie, cette interview, le sommet Arménie-États-Unis-Union européenne prévu pour le 5 avril - tout cela sont les éléments d’une seule campagne servant la même ligne.
La Communauté de l’Azerbaïdjan occidental exhorte le gouvernement et le public d’Arménie à tirer les leçons de l’histoire. L’Arménie doit comprendre qu’il est inadmissible de créer sur son territoire des conditions propices à l’activité des éléments qui empiètent sur l’intégrité territoriale et la souveraineté de l’Azerbaïdjan.
« La Communauté de l’Azerbaïdjan occidental exige de l’Arménie qu’elle mette fin à sa politique revanchiste et militariste, qu’elle suive la voie de la paix avec l’Azerbaïdjan et qu’elle permette le retour des Azerbaïdjanais occidentaux dans leurs foyers », a ajouté la Communauté. (Azertac)
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