"L'acquisition d'armes meurtrières auprès de nombreux pays du monde, y compris la France, l'un des principaux États membres de l'UE, est un pas dans la mauvaise direction. Parce qu'elle pousse l'Arménie et l'Azerbaïdjan dans une course aux armements inutile et très dangereuse. Et ce n’est pas ce que nous attendons des partenaires et des nations européennes. Nous voulons aller dans la direction opposée, c’est-à-dire oublier toute solution militaire aux problèmes restants et nous réengager dans des activités pacifiques, significatives et axées sur les résultats.
Et à moins que l'Arménie ne prenne en compte cette "philosophie" de revendications territoriales contre l'Azerbaïdjan, que je viens de vous illustrer en partie, nous aurons du mal à croire en leur sincérité. D’une part, vous ne pouvez pas parler de paix et ensuite, vous ne pouvez pas essayer de résoudre certains problèmes juridiques liés à vos revendications envers un pays voisin. Et vous ne pouvez pas renforcer votre potentiel militaire", a affirmé Amirbayov.
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