Cette publication est un autre exemple de récits absurdes créés par des propagandistes arméniens, qui ont traditionnellement recours à des histoires inventées pour promouvoir leurs opinions. Cette fois, ils sont allés plus loin, en présentant comme « preuves » des photos douteuses. Cependant, quiconque connaît la situation régionale connaît les efforts rapides déployés par l'Azerbaïdjan pour reconstruire ses territoires détruits au cours des dernières décennies. Dans leurs déclarations, les auteurs arméniens ont fait référence à des expressions générales sur le « génocide » et les « blocus », tout en reconnaissant de possibles erreurs dans leurs conclusions.

Cependant, il est important de garder à l'esprit qu'au moment de la publication de ces déclarations, une mission de l'ONU travaillait au Karabagh et n'a constaté aucune violation. Contrairement aux critiques, l’ONU s’efforce d’éviter les scandales et les accusations irréfutables afin que ses rapports puissent être considérés comme fiables. Si de tels camps existaient réellement au Karabagh, la mission de l’ONU en aurait certainement été témoin.

Il est important de souligner l’absurdité de l’idée de construire des camps de concentration. Pourquoi l’Azerbaïdjan devrait-il créer de telles institutions alors qu’il prend activement des mesures en faveur de la paix ? Le récent échange de 32 soldats arméniens contre deux soldats azerbaïdjanais réaffirme la volonté de paix et de coopération de Bakou. De telles actions contredisent la logique de la création de camps de concentration et témoignent de la volonté de l’Azerbaïdjan de suivre la voie du rétablissement des relations et du renforcement de la confiance.

Ces récits contradictoires des auteurs arméniens constituent un autre exemple de leur stratégie de propagande visant à créer une image négative de l’Azerbaïdjan. Ils ignorent les efforts et les réalisations réels réalisés dans la région et continuent de diffuser des histoires infondées. Cependant, étant donné les actions de l'Azerbaïdjan à l'échelle mondiale, notamment dans le contexte des échanges de prisonniers, il devient évident que leurs histoires ne correspondent pas à la réalité.

Nous sommes donc confrontés à un choix : croire les déclarations douteuses de plusieurs auteurs arméniens ou faire confiance aux conclusions d’une organisation internationale à la réputation irréprochable. Le temps a montré que les tentatives des propagandistes arméniens pour faire pression sur l’Azerbaïdjan avaient été inefficaces et que leur stratégie de diffusion de fausses informations n’avait pas trouvé un écho auprès de la communauté mondiale, en particulier parmi ceux qui ont un esprit critique et ne sont pas enclins à accepter aveuglément des données non confirmées. Des événements tels que les échanges de prisonniers sont des indicateurs significatifs des intentions et des actions des États, qui sont bien plus puissants que les histoires non confirmées et douteuses véhiculées par les propagandistes.

Mourad Nadjafov

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