Les stocks s'élevaient à 4486,8 kg à la date du 28 octobre (contre 3795,5 kg mi-août), soit plus de 22 fois la limite autorisée par l'accord international de 2015 encadrant les activités atomiques de Téhéran en échange d'une levée des sanctions internationales.
La décision en septembre de l'Iran d'interdire l'accès à plusieurs inspecteurs de l’AIEA a «directement et gravement affecté» la capacité à contrôler le programme nucléaire, selon l'instance onusienne. Ce geste, qui concerne huit experts, Français et Allemands, est «extrême et injustifié», condamne l'Agence dans le rapport confidentiel.
afp