"Le soutien farouche à l'Arménie de la part des dirigeants politiques actuels de la France a conduit à une situation dans laquelle personne en Azerbaïdjan n'est prêt à considérer, même théoriquement, Paris comme un parti capable d'apporter au moins une contribution utile à la promotion de la normalisation des relations entre Bakou et Erevan. Bien au contraire", a-t-il noté.
Emirbeyov a souligné que la dernière preuve de l'engagement de Paris dans la défense désintéressée des intérêts arméniens était la décision récemment annoncée par la ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna d'amener la coopération militaro-technique avec Erevan à un niveau qualitativement nouveau, y compris le début des livraisons d'armes et équipement militaire à son allié de facto.
"Une telle démarche imprudente de la France non seulement nie ses ambitions effrénées de "gardien de la paix", mais amène également la région à un nouveau niveau dangereux de confrontation militaire, incitant l'Arménie à de nouvelles provocations meurtrières et à une nouvelle agression contre l'Azerbaïdjan", a conclu le représentant présidentiel.
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