C’est ce qui ressort du briefing tenu le 8 septembre pour le corps diplomatique accrédité en Azerbaïdjan au ministère des Affaires étrangères.
Il a été indiqué lors du briefing que tout en facilitant le passage par le poste de contrôle, l'Azerbaïdjan a officiellement proposé l'utilisation d'autres routes pour la livraison de marchandises afin de répondre aux besoins des résidents locaux. Cela a été longuement discuté lors de la réunion des dirigeants du 15 juillet avec la participation de Charles Michel. Ce n'est pas un hasard si cette question a été reflétée dans la déclaration de Charles Michel à l'issue de la réunion. Le 25 juillet à Moscou, l'utilisation synchronisée de plusieurs routes a été à nouveau un sujet de discussions lors de la réunion trilatérale des ministres des Affaires étrangères. C’était une formule proposée par la Russie. L'Azerbaïdjan s'est déclaré prêt à envisager une telle option et a finalement donné son accord. L'Arménie a manifestement échappé aux discussions concrètes.
Au lieu de cela, le lendemain, l’Arménie a eu recours à une autre provocation planifiée en envoyant un soi-disant « convoi humanitaire » à la frontière. Il s’agissait là d’une pure provocation visant à manipuler l’opinion publique internationale et à créer un terrain pour de nouvelles mesures. (Azertac)
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