Farid Safarli, étudiant à l'université d'Iéna en Allemagne, né en 1997, s'est rendu en Iran le 20 février de cette année, et depuis le 4 mars, on est sans nouvelles de lui. Plus tard, il a été signalé qu'il avait été arrêté en Iran.
Selon Hadjizadé, l'accusation "d'espionnage" portée contre Farid Safarli lors de l'audience du 19 juillet a été remplacée par l'accusation "d'intention d'espionnage". Actuellement, des travaux sont en cours pour que les parents de Safarli puissent lui rendre visite.
"Après des appels répétés à la partie iranienne concernant l'organisation du travail pour protéger les droits de notre citoyen, conformément à la loi iranienne et aux exigences de la procédure judiciaire, des informations sur plusieurs avocats de la partie iranienne ont été présentées à la famille de Farid Safarli par notre consulat général à Tabriz. L'implication d'un avocat résidant en Azerbaïdjan dans le processus n'est pas prévue par la législation iranienne", a-t-il souligné.
Il a noté que le contact avec Safarli et sa famille avait été maintenu. Le consulat général d'Azerbaïdjan à Tabriz a tenu des réunions avec Safarli, et le détenu a la possibilité de contacter ses parents par téléphone.
"En outre, malgré le fait qu'une demande ait été adressée à la partie iranienne concernant les dates des audiences et la participation des employés de notre consulat général aux réunions, l'Iran n'a pas répondu aux demandes, et donc la participation à ces audiences n'était pas impossible. De plus, malgré nos appels, l'accusé n'a pas reçu d'interprète", a ajouté Hadjizadé.
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