Le chef de l’Etat a noté : « Donc, c’est nous qui avons pris l’initiative. C’est nous qui avons proposé la vision de l’avenir pour un Caucase du Sud intégré, une coopération régionale, une normalisation des relations. Par conséquent, nous avons lancé une initiative pour entamer des négociations de paix, il n’y avait aucune réaction de toutes les directions. Puis en attendant un certain temps, nous avons mis en avant ces fameux cinq principes, qui sont totalement conformes aux normes et principes du droit international et l’Arménie a formellement dû soit les rejeter, soit les accepter. Le rejeter aurait démontré une fois de plus qu’ils n’étaient pas constructifs, car il n’y avait rien de contraire au droit international dans ces principes. L’accepter, c’était probablement difficile pour eux d’un point de vue psychologique et du point de vue de l’acceptation d’un comportement normal. Alors, nous avons à nouveau rompu longtemps, à cause de la réticence arménienne à s’engager dans des négociations sérieuses.
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