"Il convient de rappeler à ceux qui font des allégations infondées accusant l'Azerbaïdjan d'ingérence dans le territoire de l'Arménie que le parti qui poursuit une politique d'occupation et de nettoyage ethnique depuis 30 ans, c'est l'Arménie.
Malheureusement, la partie française, se positionnant comme "luttant" pour le règlement du conflit, n'a jamais condamné l'Arménie pour sa politique d'occupation illégale en 30 ans. La partie arménienne n'a pas encore complètement retiré ses forces armées du territoire de l'Azerbaïdjan, et n'a pas arrêté l'occupation de huit villages azerbaïdjanais. Au contraire, il continue ses provocations militaires et politiques", a souligné le ministère.
Dans le même temps, l'ingérence dans l'établissement d'un poste de contrôle frontalier sur la route Latchine-Khankendi par l'Azerbaïdjan sur son territoire souverain, qui est une affaire intérieure du pays, contredit la souveraineté et l'intégrité territoriale de l'Azerbaïdjan, selon le ministère.
"Ainsi, il est totalement faux d'évaluer la création de ce point, qui réglementera le régime d'entrée et de sortie à la frontière, comme une fermeture de route. Au lieu de démontrer des approches biaisées, il serait plus utile que la partie française encourage l'Arménie de remplir les obligations découlant des accords et l'empêcherait de faire des provocations contre l'Azerbaïdjan", a noté le ministère.