Pour exploiter ces déchets de tomates et produire du courant, les chercheurs ont utilisé une pile à combustible biologique, qui marche grâce à des bactéries, indique la même source, ajoutant que "dans cette pile à combustible biologique, un processus d’oxydation, fruit de l’interaction des bactéries avec les tomates pourries, libère des électrons qui sont capturés par la pile à combustible, pour devenir une source d’électricité".
Ce dispositif permet de générer 0,3 watt d’électricité avec 10 milligrammes de déchets de tomates. Selon ces chercheurs, il est tout à fait envisageable d’augmenter la production électrique de plusieurs ordres de grandeur en poursuivant les recherches, indique enfin le site.
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