Selon elle, de ce point de vue, de tels cataclysmes sont le test décisif qui nous permettra d'évaluer à quel point les pays sont amis les uns envers les autres.
« Dans quelle mesure ils sont prêts à s'entraider, à fournir les premiers secours, et en général, dans quelle mesure la communauté internationale est prête à coopérer. De ce point de vue, le Kazakhstan et la Turkiye ont démontré quel genre de peuples frères ils sont. Car dans les toutes premières heures qui ont suivi la catastrophe, les autorités kazakhes ont immédiatement réagi, ce qui a permis de préparer le premier échelon, une brigade d'urgence, en quelques heures. Sauveteurs, cynologues, médecins spécialement formés et prêts à travailler dans de telles conditions. Le premier avion a décollé.
Maintenant, le second est en préparation en direction de la Turkiye. Le nombre total de spécialistes est d'environ 100 personnes. Dans le même temps, nous sommes également prêts à fournir une aide supplémentaire d'urgence à la demande de la partie turque. Environ 125 médecins hautement qualifiés attendent dans les coulisses d'être envoyés en Turkiye si une telle demande est reçue. En outre, de nombreux pays, environ 45 pays, ont offert un ensemble solide d'assistance. Le Kazakhstan ne fait pas exception. On parle ici de l'allocation d'au moins un million de dollars pour des travaux de restauration. Malheureusement, cela prendra beaucoup de ressources.
Le Kirghizistan et l'Ouzbékistan ont également coordonné leurs actions avec Ankara et envoyé leurs sauveteurs. Une telle assistance est nécessaire pour empêcher une nouvelle détérioration de la situation. Tous, le Kazakhstan et les États d'Asie centrale, l'Azerbaïdjan sont des peuples frères et très proches d'esprit de la Turkiye. Chacun devrait faire des efforts pour minimiser les pertes humaines. De plus, de tels cataclysmes se produisent de manière tout à fait inattendue », a noté experte kazakhe.
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