Dans son tweet, il indique : « Un projet de décision du gouvernement arménien sur l'ouverture de trois postes de contrôle à la frontière arméno-azerbaïdjanaise pour assurer une connexion entre l'est de l'Azerbaïdjan et le Nakhitchevan circule officiellement depuis plusieurs mois. Le gouvernement arménien attend une réaction positive de l'Azerbaïdjan. »
Ce qui est plus intéressant, c'est que Pashinyan a utilisé l'expression « Azerbaïdjan oriental ». La raison en est que si nos zones frontalières avec l'Arménie sont « l'Azerbaïdjan oriental », alors, automatiquement, les terres actuelles de l'Arménie appartiennent à l'Azerbaïdjan occidental. Plus important encore, le Premier ministre arménien l'admet lui-même.
On ne peut pas considérer la déclaration dans le tweet comme une erreur technique. Il s'agit davantage d'un problème psychologique : il semble qu'à mesure que les vérités historiques sur l'établissement de l'État arménien sur les terres de l'Azerbaïdjan occidental se répètent de plus en plus, la conscience publique et politique arménienne commence déjà à travailler avec ces modèles fallacieux. Bien que Pashinyan prétende être un clown, il n'est pas idiot et connaît la réalité historique.
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