Au cours de la réunion, le ministre Baïramov a attiré l'attention sur la position de l'Azerbaïdjan sur la garantie de la paix dans la région pendant la période post-conflit et sur les mesures nécessaires dans cette direction.
Le ministre a souligné que du 12 au 14 septembre, l'Arménie, après avoir mené des provocations et des attaques contre l'Azerbaïdjan, a provoqué un affrontement, et le fait que le cessez-le-feu initial obtenu en quelques heures a été violé par l'Arménie et a ainsi entraîné des pertes supplémentaires. Il a déclaré que l'Azerbaïdjan, en tant que partie menant des travaux de reconstruction à grande échelle dans la région et plaçant d'anciennes personnes déplacées dans la région, n'était pas intéressé à déstabiliser.
Le ministre a rappelé que malgré les graves conséquences de l'occupation des territoires internationalement reconnus de l'Azerbaïdjan pendant 30 ans, Bakou a proposé de signer un traité de paix immédiatement après la guerre patriotique de 44 jours et prend constamment des initiatives dans ce sens. Selon lui, malgré les efforts de l'Azerbaïdjan dans le processus de normalisation des relations avec l'Arménie, l'ouverture des communications, la délimitation et la démarcation des frontières, ainsi que dans le sens humanitaire, l'Arménie entrave les processus et viole de manière flagrante ses obligations en vertu des déclarations tripartites.
Baïramov a une fois de plus évoqué la volonté de négociations urgentes entre les dirigeants en vue d'assurer une paix durable conformément aux déclarations tripartites et aux résultats de la réunion de Bruxelles.
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