Il explique qu'il "limite la distribution d'informations qui pourraient être utilisées comme un moyen de pression supplémentaire sur le marché russe et ses intervenants".
La division du ministère chargée du traitement de ces données (CDU TEK) n'avait pas publié son rapport mensuel attendu le 2 avril, selon deux clients, pour la première fois depuis plusieurs années.
Le secteur russe de l'énergie est l'un de ceux visés par les sanctions occidentales depuis le début de l'invasion de l'Ukraine le 24 février, que Moscou continue de présenter comme une "opération militaire spéciale".
La production de pétrole et de gaz de condensats russe est tombée lundi sous 10 millions de barils par jour (bpj), son plus bas niveau depuis juillet 2020, selon deux sources ayant connaissance de ces données.
La production de pétrole du pays pourrait chuter de 1,5 million de bpj ce mois-ci selon les prévisions de l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
Reuters
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