Il a noté qu'après la réunion trilatérale à Bruxelles et la déclaration sur les préparatifs de la signature d'un accord de paix, le gouvernement arménien avait été accusé de refuser de négocier dans le format existant. Cependant, selon lui, la réalité est différente. Après l'escalade en Ukraine, les relations entre les coprésidents se sont tendues.
- Cette tension est née lors des événements en Syrie et a eu des conséquences négatives dans notre région. Compte tenu de cela, nous ne pouvons pas attendre passivement les activités du Groupe de Minsk de l'OSCE. D'autre part, le dialogue dans ce format n'empêche pas les coprésidents d'entrer dans le processus. Nous soutiendrons cette approche, a déclaré Pashinyan.
Selon le Premier ministre arménien, il est nécessaire de ne pas retarder le processus d'accord de paix, mais d'espérer que les ministres des Affaires étrangères seront en mesure de remplir toutes leurs tâches en temps opportun.
- Toute la communauté internationale facilite le processus et cette opportunité doit être saisie, a-t-il dit.
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