La réunion a été ouverte par Katerina Iouchtchenko, l`épouse de l`ancien président Victor Iouchtchenko. Elle a déclaré que la question des droits de l`homme est facile à comprendre, mais difficile à mettre en œuvre.
« L`idée des droits de l`homme est venu à nous à travers les siècles. Selon le concept de droits de l`homme, ces droits nous ont été donnés par Dieu, ils sont égalitaires. Beaucoup de gens croient qu’une telle attitude aux droits de l`homme est basée sur une culture et peut être utilisée que dans l`Ouest. Cependant, le concept de droits de l`homme se reflète dans la Déclaration du Caire, adoptée dans le monde islamique en 1990. Ainsi, le document a noté l`égalité de toutes les personnes sans distinction de race, de sexe, de langue, de religion ».
K. Iouchtchenko a noté que les problèmes restent dans ce domaine.
L’ancien président bélarusse Stanislav Chouchkevitch a déclaré que la Biélorussie a signé tous les documents relatifs aux droits des femmes. Selon lui, l’attitude à l`égard des femmes était historiquement bonne à la Biélorussie: « Je vis dans un pays où les femmes sont respectées, et dans lequel les femmes ne gênent pas dans la vie politique. Une seule femme a participé aux élections frauduleuses ».
Le discours prononcé par l`ancien président colombien Andrés Pastrana était dû à l`intégration des femmes dans la vie publique et politique. L`ancien Premier ministre du Madagascar Jean Omer Beriziky a déclaré que dans son pays, les femmes ont été soumises à la discrimination sociale, les filles ne sont pas autorisées à aller à l`école et contraintes à des mariages précoces.
Farida Allaghi, Ambassadrice de Lybie auprès de l`Union Européenne a ajouté que la première révolution libyenne a été commencée par les femmes.
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