C’est ce qui ressort d'une longue interview avec des représentants de plusieurs médias à propos de la politique étrangère russe.
Lavrov a déclaré : "la guerre n'éclaterait pas si cela dépend de la Russie, et les négociations avec l'Occident sur les garanties de sécurité ne sont pas encore terminées, et nous ne permettrons à personne d'ignorer nos intérêts".
Et d’ajouter que les points constructifs de la réponse occidentale à "l'initiative des garanties de sécurité" émanent des propositions russes précédentes.
Washington a annoncé, dans la journée d’hier sa volonté d’organiser des pourparlers "sérieux" avec Moscou, pour discuter des préoccupations sécuritaires des deux parties, face à l'intensification de la crise avec Kiev.
Les pays occidentaux, menés par les États-Unis, de mobiliser ses forces armées à proximité de la frontière ukrainienne. Washington a brandi la menace des sanctions contre la Russie si elle lançait une offensive contre l'Ukraine.
Les États-Unis dirigent un mouvement international pour soutenir Kiev avec les armes et les équipements nécessaires pour faire face à une éventuelle offensive russe.
Pour sa part, la Russie a rejeté les accusations sur les mouvements de ses troupes à l'intérieur de son territoire, et a démenti l'existence d’intentions agressives qu’elle aurait envers l'Ukraine.
AA