L’Iran a en effet déjà prévenu le royaume, par le biais de son vice-ministre des Affaires étrangères Hossein Amir Abdollahian, que «l’exécution du cheikh Nimr coûterait cher à l’Arabie Saoudite».
Le Cheikh Nimr al-Nimr prêché pendant des manifestations en 2011 en faveur d`une sécession de l`est de l`Arabie et de sa fusion avec le royaume proche de Bahreïn, également agité à l`époque par un mouvement de contestation des chiites. Il a été condamné à mort il y a un an par la justice du royaume sunnite pour «sédition», «désobéissance au souverain» et «port d`armes».
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