Le président a déclaré que la raison de ces déclarations était claire, pour gagner le vote des organisations arméniennes lors de la prochaine élection présidentielle :
« Je pense que ceux qui ont fait ces déclarations comprennent que cela ne changera rien. Cette visite provocatrice de la candidate à la présidentielle Pécresse en Azerbaïdjan, était tout d'abord une visite contre le président Macron. Je suis simplement surpris que le président Macron ait été l'homme politique qui a le plus soutenu l'Arménie pendant la guerre, et même la question a atteint le point où les relations franco-azerbaïdjanaises étaient déjà remises en question. Néanmoins, tout au long de la guerre, il s'est rangé sans équivoque du côté de l'Arménie. Je suis étonné de voir à quel point Pashinyan est maintenant ingrat, envoyant sa principale rivale, Mme Pécresse, au Karabagh, et lui donnant ainsi de plus grandes opportunités de gagner des voix arméniennes. Alors c'est ça qui m'étonne. Deuxièmement, je tiens à redire que cela ne changera rien. »
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