« Nous savons tous que la demande de gaz naturel en Europe va augmenter en raison d'un certain nombre de décisions prises par certains pays concernant leur stratégie énergétique. Et ici, l'Azerbaïdjan est un partenaire fiable, un ami de l'Europe, un pays qui a déjà achevé tous les travaux d'infrastructure. Imaginez 3 500 kilomètres d'un gazoduc reliant Bakou à l'Italie, dont une partie se trouve sous la mer. Tout est prêt et le gaz coule. Tout ce que nous devons faire, c'est de travailler en étroite collaboration avec la Commission européenne et les États membres de l'UE, avec ceux qui veulent obtenir plus de gaz de notre part, ou avec de nouveaux acheteurs de gaz, et d'entamer des négociations », a déclaré le chef de l'État.
Il a noté que l'Azerbaïdjan possédait d'énormes gisements de gaz naturel et un itinéraire de transport plus court que les approvisionnements traditionnels en gaz naturel vers l'Europe.
Dans le même temps, répondant à une question sur la concurrence avec le gaz russe, le président a souligné que le problème de la concurrence est largement exagéré et politisé sans fondement : « Notre approvisionnement en gaz ne peut en aucun cas rivaliser avec celui de la Russie. »
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