«L'Azerbaïdjan se déclare prêt à normaliser ses relations avec l'Arménie, notamment en signant un traité de paix qui garantirait une paix, un développement et un progrès durables», a souligné le diplomate, évaluant la situation à la frontière comme des «idées revanchardes dangereuses» de l'Arménie.
«L'Azerbaïdjan est certain qu'il n'y a pas d'alternative à la normalisation des relations entre les deux pays, basée sur la reconnaissance mutuelle, le respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de chacun à l'intérieur de frontières internationalement reconnues», a-t-il précisé, ajoutant qu'une telle normalisation vise la réconciliation et la coexistence pacifique de l'Azerbaïdjan et de l'Arménie.
Il convient de noter que l'Arménie a de nouveau commis hier une provocation à grande échelle à la frontière de l'État. Selon le ministère azerbaïdjanais de la Défense, des unités des forces armées arméniennes ont lancé une provocation à grande échelle contre notre pays dans les régions de Kelbedjer et Latchine de la frontière de l'État.
Des unités militaires arméniennes, concentrant des effectifs supplémentaires, des équipements militaires et spéciaux sur les positions de combat frontalières dans les régions de Bassarkétcher et Garakilsé, ont attaqué les postes de combat de l'armée azerbaïdjanaise dans les régions de Kelbedjer et Latchine.
La partie adverse a tiré intensément sur les positions de l'armée azerbaïdjanaise avec des armes à feu et des grenades de divers calibres, endommageant nos postes de combat. Afin d'empêcher l'activité de combat des forces armées arméniennes, les unités et forces situées en direction de Kelbedjer et Latchine ont immédiatement mené une opération d'urgence. Initialement, le mouvement du côté opposé a été restreint, ses forces et ses moyens ont été endommagés. À la suite des mesures décisives prises, les militaires arméniens ont été désarmés et détenus, un grand nombre d'armes de divers calibres et une grande quantité de munitions ont été saisies.
L'attaque des unités militaires arméniennes, qui voulaient obtenir un avantage à court terme en commettant des provocations à grande échelle, a complètement échoué du point de vue opérationnel et tactique, et la prochaine tentative d'Erevan de commettre des provocations a échoué.
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