La magie du chocolat, ou comment améliorer ses capacités intellectuelles

  06 Mars 2016    Lu: 730
La magie du chocolat, ou comment améliorer ses capacités intellectuelles
Lors d’une série d’expériences récentes, des psychologues réalisant un projet appelé Maine-Syracuse Longitudinal Study (MSLS) en sont venus à la conclusion que la consommation de chocolat produit un effet positif sur les capacités cognitives.
Le parcours qui a finalement amené les chercheurs à cette découverte intéressante a pour point de départ le milieu des années 1970, annonce The Washington Post dans un article consacré à l`étude.

Quand le psychologue Merrill Elias a commencé les recherches expérimentales sur les capacités cognitives de plus de 1.000 personnes dans l`Etat de New York, rien ne laissait à penser que l`étude pourrait un jour conduire à une découverte liée au chocolat. La recherche devait observer la situation autour de la pression et du niveau de productivité du cerveau.

Bien que l`étude ait ensuite impliqué d`autres particularités du fonctionnement de l`organisme humain, elle n`avait pourtant rien à voir avec les habitudes de consommation. D`autant plus surprenant que la recherche a conduit vers ce sujet après 40 longues années d`expériences et de calculs.

Enfin, M.Elias et ses collègues ont décidé d`inclure dans leur série de questions posées aux participants de la recherche une nouvelle question pour savoir ce qu`ils préféraient manger. Un point logique, vu que la consommation est considérablement liée aux sujets de l`étude.

Les scientifiques ont alors inclus de nouvelles questions dans leur sixième série de collecte de données qui a couvert les années entre 2001 et 2006. Finalement, les chercheurs ont découvert que les personnes qui mangent du chocolat au moins une fois par semaine ont une tendance à manifester des meilleures capacités cognitives.

Les résultats finaux de la recherche ont fait l`objet d`un article paru récemment dans la revue Appetite et publié sur le site Science Direct. Cet article a été préparé avec la participation active de Georgina Crichton, scientifique de l`Université d`Australie-Méridionale.

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