Ayant souligné que les territoires de l'Azerbaïdjan reconnus par la communauté internationale étaient restés sous occupation pendant environ 30 ans, le chef de l'Etat a déclaré: «Environ 20% de nos terres ont été occupées par l'Arménie, plus d'un million d'Azerbaïdjanais ont été expulsés de leurs terres natales et devenus des réfugiés et des personnes déplacées internes.
Une politique de nettoyage ethnique a été menée contre notre peuple. L'Arménie a commis un génocide contre l'Azerbaïdjan. À la suite du génocide de Khodjaly en 1992, plus de 600 personnes innocentes et pacifiques ont été brutalement tuées. Parmi eux, 106 femmes et 63 enfants ont été brutalement tués.
Le président Aliyev a noté que les organisations internationales avaient toujours soutenu la position de l'Azerbaïdjan:
«Cependant, ce soutien n'était pas si important dans la pratique. Parce que le problème n'avait pas été résolu. Le Conseil de sécurité des Nations Unies, la plus haute instance internationale du monde, a adopté quatre résolutions. Ces résolutions exigeaient le retrait immédiat, complet et inconditionnel des forces armées arméniennes des territoires occupés. Ces résolutions ont été adoptées en 1993 et n'ont pas été appliquées. Les décisions et résolutions d'autres organisations internationales soutiennent la position de l'Azerbaïdjan et cela revêt une grande importance politique et juridique.»
Selon lui, l'OSCE, le Mouvement des non-alignés, l'Organisation de la coopération islamique, le Parlement européen, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe et d'autres organisations ont défendu la juste position de l'Azerbaïdjan.
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