Dans son discours d'ouverture, le président Ilham Aliyev a évoqué la tragédie de Khodjaly, au cours de laquelle 613 civils azerbaïdjanais avaient été tués par les forces armées arméniennes le 26 février 1992.
Répondant aux questions des journalistes, le chef de l'Etat a fait un exposé sur les résultats de la Guerre patriotique, affirmant qu'elle était plus efficace que trente ans de négociations infructueuses.
Les paroles suivantes du président Ilham Aliyev sont notées: «Nous sommes à nos frontières et ne prenons aucune mesure nuisible contre la population arménienne. Nous y avons accroché un panneau «Bienvenue en Azerbaïdjan» et je ne comprends pas pourquoi cela irrite l'Arménie. Nous n'avons rien écrit de mal. Nous retournerons à Khodjaly. Nous avons rendu ce qui nous appartient et démontré que nos paroles et nos actes avaient la même valeur.»
Les articles soulignent également que si l'Arménie tente de violer la mise en œuvre de l'accord trilatéral, ce sera un suicide pour l'Arménie et toute tentative de vengeance sera sévèrement punie par l'Azerbaïdjan.
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