Le groupe de travail a répondu à Jagland – communiqué
Selon l’information de AzVision.az, le groupe de travail conjoint a adopté un communiqué ci-dessous relative à cette décision:
“Le groupe de travail conjoint chargé des issues des droits de l’Homme en Azerbaïdjan a été établi en 2005 par la présence des organisations de la société civile, des défenseurs des droits de l’Homme et les représentants du gouvernement azerbaïdjanais.
Le groupe de travail tient compte de la possibilité de résolution d’un certain nombre des questions soulevés relative à la protection des droits de l’Homme dans notre pays dans le cadre de la coopération des représentants de défenseurs des droits de l’Homme avec l’autorité d’État à l’intérieur du pays.
Mais les forces anti-azerbaïdjanaises et certains fronts ayant des antipathies en Azerbaïdjan
au sein du Conseil de l’Europe ont essayé d’empêcher au dialogue entre la société civile et
le gouvernement dans notre pays.
Les représentants du groupe de travail a appelé le Conseil de l’Europe à ne pas empêcher à ce dialogue, mais à la suite de son approche tendancieuse l’Assemblée parlementaire du Conseil d l’Europe(APCE) a parvenu en 2008 à arrêter l’activité du groupe de travail.
Malgré que durant les activités du groupe de travail les 150 prisonniers, que leur travaux ont été soulevés par les défenseurs des droits de l’Homme, ont été libérés.
Le secrétaire général du Conseil de l’Europe, Thorbjørn Jagland a demandé en 2014 au président de la République d’Azerbaïdjan pour l’instauration de l’activité du groupe de travail conjoint et le président de l’Azerbaïdjan l’a donné son accord en démontrant sa bonne intention.
La première session du groupe de travail conjoint inclus les représentants de la société civile et de l’autorité en Azerbaïdjan s’est tenue le 22 octobre 2014 après la pause depuis 2008.
Durant les sessions tenues par la présence du représentant du secrétaire du Conseil de l’Europe les membres du groupe de travail conjoint ont discutés les questions des personnes censées être violés leurs droits et les propositions aux organismes d’État et aux cours ont été préparées mais également pour la solution de ces questions.
En outre, les questions actuelles relatives au développement des droites de l’Homme et la société civile ont été discutées, les mesures concrètes pour la résolution de certains problèmes ont été accordées.
A court terme 16 personnes, où leurs noms avaient inclus dans la liste des organisations de défenseurs des droits de l’Homme, ont été libérés et la durée de pénalité d’un prisonnier a été diminuée en raison des activités du groupe de travail.
Ces résultats montrent que l’activité du groupe de travail conjoint a servi au règlement efficace des questions relatives aux droits de l’Homme et pour la consolidation du dialogue constructif et ouvert entre les représentants de la société civile et du gouvernement en Azerbaïdjan.
Dans cette situation la communication du secrétaire général du Conseil de l’Europe, Thorbjørn Jagland, est étonnante et peut découler seulement de sentiments de regret.
Nous – les membres du groupe de travail conjoint, nous sommes sûr que, les organisations intergouvernementales internationales au lieu d’exécuter les instructions de certains forces, elles doivent approcher objectives aux situations dans chaque État, doivent évaluer correctement les résultats positifs acquis dans le domaine de coopération et doivent supporter le dialogue entre la société civile et le pouvoir.
Nous envisageons que la décision non fondement du secrétaire général du Conseil de l’Europe, prise à la suite de l’incitation et l’influence des forces anti-azerbaïdjanaises, fait du mal seulement la réputation du Conseil de l’Europe.
Le groupe de travail appelle les forces anti-azerbaïdjanaises de mettre fin à leur jeux laids et il déclare que ces jeux ne pourront pas empêcher au développement des droits de l’Homme et à poursuivre le dialogue entre les autorités de l’État et la société civile en Azerbaïdjan!”