Selon l`article, l`autorité bolchévique établie le 29 novembre 1920, en Arménie, avait voulu inclure Nakhitchevan et Zangezour aux territoires arméniens. La population civile de Nakhitchevan et Zangezour ont organisé des protestations massives contre cette décision.
« Au moment où le traité de Kars a été signé, le territoire de Nakhitchevan était 6 988 km2, plus tard, il a été réduit à 5 500 km2 à la suite la remise illégale du territoire du Nakhitchevan à l`Arménie. Par la suite, les traités internationaux ont été violés de manière unilatérale » dit l`article.
En se référant au tsraité de Moscou signé le 16 mars, 1921, Peter Tase note que l`accord protège l`intégrité territoriale de l`Azerbaïdjan et définit le statut de Nakhitchevan.
L’auteur souligne que les traités de Moscou et Kars continuent d`être en vigueur et valables jusqu`à aujourd`hui, l`annexion illégale de territoires de la République autonome de Nakhitchevan menée par l`Arménie est contre les normes établies par le droit international, la Convention de Vienne de 1969 et l`Acte final d`Helsinki de 1975.
« Comme la plupart des nations du monde mettent un accent particulier sur le conflit du Haut-Karabakh, qui se déroule sur le territoire souverain de la République de l`Azerbaïdjan au cours des 27 dernières années, leurs dirigeants respectifs oublient que la République autonome de Nakhitchevan (Azerbaïdjan) subit des pertes tragiques territoriales. Les gens à Erevan vivent dans l`isolement, dans une situation économique difficile, mis en place par le régime. Nous ne devons pas oublier que Nakhitchevan est un berceau de la civilisation humaine et mérite une attention particulière de la communauté internationale » a dit l`article.
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