Le camp où vivaient nos concitoyens en captivité au Haut-Karabagh est repéré

  23 Octobre 2015    Lu: 1732
Le camp où vivaient nos concitoyens en captivité au Haut-Karabagh est repéré
L’année dernière, des étrangers qui sont parti en touristes à Kalbadjar, des géorgiens ayant visité nos territoires azerbaïdjanais occupés ont découvert les lieux où les survivants sont travaillés comme esclave. Selon les informations, les personnes visitant le village Zod de la région Kalbadjar ont aperçus des personnes minces, faméliques, moitié affamées, moitié nues travaillant dans les mines à côté.

Interrogé sur les identités des personnes torturées se trouvant dans les camps barbelés, les visiteurs ont été surpris par la réponse. Un arménien qui les guidait avait répondu que des employés dans des mines d’or Zod et d’autres mines sont des captifs azerbaïdjanais. Ceux ne supportant plus la torture, des conditions difficiles en meurent sur place et leurs traces sont effacées ici même …

Il convient de noter que pendant le conflit de Karabagh, 4210 personnes sont portées disparues, sont fait prisonniers dont 3401 sont militaires, 802 civils, 7 d’entre eux ne sont pas connus pour être dans le militaire ou civil. Dès les premiers jours de guerres sanglantes au Haut-Karabakh, des azerbaïdjanais détenus dans des prisons à Choucha et Khankendi, afin de les cacher aux yeux de la Croix Rouge et d’autres organisations internationales, les arméniens choisissent quelques lieux secrets. L’un d’eux est un camp secret établi dans l’un des immeubles endommagés du tremblement de terre de Spitak (l’Arménie, l’adresse; l’avenue 306), et d’autres dans la ville de Askéran (Karabakh) dans une cave de la banque et le sous-sol de la prison Choucha. Tandis que les femmes prises en otages ont été gardés dans les écoles maternelles de Khankandi.

En général, certains captifs azerbaïdjanais sont détenus à Kelbadjar.

Mesrop Martirosyan, un ancien militaire obtenu l’asile politique aux Etats-Unis il ya quelques années, dans ses témoignages au Parquet américain avait déclaré que des otages azerbaïdjanais sont gardés en Arménie et dans les territoires occupés et leur nombre est plus élevé, ceux-ci sont systématiquement torturés.

Témoignage de Panah Iskandarov, captif azerbaidjanais: «Je n’était pas gardé dans un seul endroit. Après avoir été resté 1-2 jours à Khankendi et on m’a fait revenir à Choucha. J’ai vite récupérée de mes blessures. Je travaillais dans la construction à Khankendi. Moi et les autres prisonniers furent employés dans la villa de Samvel Babayan à Stepanakert. Les pierres utilisées dans la construction de la maison ont été apportées du village Malibeyli. Comme j’avais un ulcère dans l’estomac, j’ai été hospitalisé à l’hôpital pour enfants n°3 à Khankendi. Les blessés azerbaidjanais ont été gardés dans cet hôpital. Parmi eux, il y avait des femmes et des enfants aussi. Prisonniers azerbaïdjanais soignaient, nettoyaient et pansaient mes blessures. Je me souviens de l’une d’entre elles, son prénom était Guljahan. Selon elle, elle est née à Kalbajar et y a été capturée.

Mammadov Valkhad Adil oglou capturé par les arméniens en 1993-1996, d’après son témoignage № 474 / DK en date du 30.06.2003 avait confirmé l’exploitation des prisonniers dans le démantèlement des monuments historiques dont le démontage du plancher de la mosquée de Choucha, buste de Bulbul mitraillé puis jeté dans la cour du musée, le démontage du revêtement en marbre près de la statue de M.P.Vagif et la destruction des cimetières musulmanes.

16 février 1994, le ministère arménien Affaires étrangères avait annoncé la mort de 8 prisonniers de guerre en prétendant qu’ils tentaient de s’évader de la prison. Lors de l’autopsie des corps effectuée à Bakou par le membre du Directoire de l’Académie de Médecine sociale et du Droit International de la Grande-Bretagne et de l’organisation «Physicians for Human Rights», le professeur Derek Paunder avait conclu que des prisonniers azerbaidjanais furent tués à bout portant d’une même arme (pistolet) au niveau de l’os temporal et récusait l’idée «tués en tentant de s’échapper» prétendument avancée par la partie arménienne.

Le prisonnier dénommé Safar Babayev est assassiné pour avoir refusé de démonter les pierres tombales et son corps est restitué à sa famille en avril 1992. Selon les infos de nos concitoyens restés prisonniers furent témoigne de la mort de 5 azerbaidjanais au village Drambon après avoir « utilisés » comme esclave dans de travaux forcés.

Rasul Nemat oglou Ramazanov, prisonnier dans les régions Choucha, Khankendi et Khocavend dans les années 1993-1995 écrit dans son témoignage adressé à la Commission d’Etat № 474 / DK: « Lors de mon arrestation à Choucha j’étais témoigne du démontage des pierres tombales, d’anciens minarets et de précieuses dalles. Ces matériaux ont été chargés dans des véhicules immatriculés à Erevan et transportés par la suite en Arménie».

La plupart des enfants fait prisonniers sont devenus victimes de la mafia du trafic d’organes. Laura Gevorkovna Lalayan, une arménienne née à Soumgait (Azerbaïdjan) en 1962 gère cette affaire en contactant l’hôpital Necker à Paris (149, rue de Sèvres, Paris 15, France ). Cette « femme » dirige le trafic d’organes retirés des enfants en captivité pendant les années de guerre et les revendait au marché noir du monde entier. C’est Laura Lalayan , terroriste cruelle qui emmenait les enfants à l’hôpital, mais son vrai nom ne figurait pas sur aucun registre.

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