Il a noté que la résolution du Sénat français était largement influencée par les divergences d'opinion entre Paris et Ankara: «Cela peut paraître paradoxal, mais je doute que la décision du Sénat français soit également liée à la Turquie.»
Konstantin Kossatchev a noté que la décision du Sénat n'était pour l'instant rien de plus qu'une démonstration: «L'adoption de la résolution mentionnée en tant que recommandation au gouvernement restera une recommandation. La situation autour du Haut-Karabagh doit continuer à faire l'objet d'un dialogue politique bilatéral azerbaïdjano-arménien. Sans ultimatums et sans scénarios de pouvoir ... »