Selon l'auteur, malgré les efforts des puissances mondiales pour résoudre le conflit arméno-azerbaïdjanais depuis des décennies, elles n'ont pas continué à exercer des pressions pour progresser.
Il a noté que dans de telles circonstances, il était inévitable que le conflit de longue date entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan soit résolu non pas sur la table des négociations, mais sur le champ de bataille, et l'accord de paix historique signé la semaine dernière le prouvait une fois de plus.
Notant l'accord de paix signé entre l'Azerbaïdjan, l'Arménie et la Russie, l'article souligne que l'Azerbaïdjan restaure son territoire souverain: «Les forces d'occupation arméniennes se retirent des frontières internationalement reconnues de l'Azerbaïdjan et les forces de maintien de la paix entrent dans ces territoires. Les personnes déplacées azerbaïdjanaises retournent au Karabagh et dans les régions adjacentes.»
Selon l'article, la justice a été rétablie. L'auteur souligne que la communauté internationale devrait avoir honte de créer les conditions qui nécessitent l'effusion de sang pour amener le conflit à ce stade. Parce que si la pression diplomatique internationale convenue était appliquée à temps, le même résultat pourrait être obtenu.
L’auteur note qu’à la suite d'activités militaires fructueuses, obligeant les forces armées arméniennes à se retirer des territoires occupés pendant près de 30 ans, l’Azerbaïdjan a créé une nouvelle réalité dans la région.
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