Selon les instructions du Premier ministre arménien Nikol Pashinyan, des arrestations massives sont effectuées en Arménie, des chefs de partis politiques, des militants politiques sont détenus, arrêtés et des députés sont attaqués. Les médias du pays opèrent sous une censure stricte et les activités des ONG sont totalement limitées.
Il y a des morts parmi les manifestants. Le corps de l'un des manifestants qui sont entrés dans le bâtiment du parlement arménien a été retrouvé sous le pont Razdan à Erevan le 13 novembre.
Le service de sécurité nationale d'Arménie avait précédemment arrêté Edouard Charmazanov, vice-président du parlement, Artur Vanetsyan, président du parti «Patrie Vatan», ancien chef du service de sécurité nationale, Gagik Sarukyan, président du parti «Arménie prospère», et Ara Sahakyan, ancien vice-président du parlement. Ishkhan Sagatelyan, le chef du parti Dashnaktsutyun, avait également été arrêté.
Naira Zograbian, membre du parti «Arménie prospère», a déclaré qu'elle était soumise à de fortes pressions et que si quelque chose arrivait, Pashinyan Pashkina en serait responsable.
Après avoir exprimé son mécontentement face à la déclaration de la capitulation signée par Nikol Pashinyan, la maison du député Vardan Atabekyan a été attaquée.
Il est interdit à la population de manifester et les militants et leurs familles sont soumis à des pressions.
En fait, le régime de Pashinyan, devenu un jouet entre les mains de pays étrangers, a déclaré la guerre au peuple arménien. Il est intéressant de noter que les cercles occidentaux, qui parlent beaucoup des droits de l'homme, ferment les yeux sur ce scandale en Arménie.
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