« Chers frères et sœurs,

Je vous félicite sincèrement pour la prochaine fête de Novrouz. C'est la quatrième fois que j’allume le feu festif sur le sol du Karabagh, libéré de l’occupation, - en 2021, c'était à Choucha, en 2022 à Sougovouchan, l'année dernière dans le village de Talych, et cette fois-ci, le feu festif a été allumé dans la ville de Khankendi. Cela apporte une grande joie. Il y a six mois, suite à une opération anti-terroriste qui a duré moins d'une journée, nous avons pleinement restauré notre souveraineté, et aujourd'hui l'intégrité territoriale de notre pays est pleinement assurée sur l'ensemble du territoire national.

Nous avons fait preuve d'un grand héroïsme pendant la Seconde guerre du Karabagh et dans l'opération anti-terroriste. Qu’Allah ait les âmes de tous nos martyrs ! Grâce au dévouement, au professionnalisme et à l'héroïsme de nos martyrs, de nos braves soldats et officiers, désormais nous construisons et édifions dans ces terres. La vie revient à la normale dans ces contrées. Grâce aux efforts de construction, nous avons déjà facilité le retour des anciens déplacés dans leurs terres ancestrales, et ce processus se poursuivra cette année.

Malheureusement, les résultats de la Seconde guerre du Karabagh n’ont pas servi de leçon à l'Arménie. Dans mon discours de Novrouz de l’année dernière, j’en ai parlé et exprimé mon regret que leur défaite lors de la Seconde guerre du Karabagh ne leur ait pas servi de leçon. S'ils avaient en tiré la leçon, il n'aurait pas été nécessaire de mener l'opération anti-terroriste. Après la Seconde guerre du Karabagh, l'Arménie n'a pas tiré les bonnes conclusions pendant les trois années qui ont suivi et a cherché à maintenir indéfiniment ses groupes armés illégaux sur nos terres. Elle visait à perpétuer l'existence de la prétendue république du Haut-Karabagh, qui a été illégalement établie ici. Tout cela est complètement contraire au droit international et, surtout, à la volonté du peuple azerbaïdjanais. » (Azertac)

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