Le ministère a rappelé que l'Arménie avait imposé la guerre à l'Azerbaïdjan, maintenu les territoires azerbaïdjanais, y compris le Haut-Karabagh et sept régions adjacentes sous occupation militaire pendant près de trois décennies et violé gravement les droits fondamentaux de près d’un million de personnes déplacées qui ont été expulsées de force de leurs maisons.
Il a souligné que la nouvelle agression de l'Arménie contre l'Azerbaïdjan depuis le 27 septembre 2020 s'était accompagnée d'une violation flagrante des normes et principes du droit international, y compris du droit international humanitaire et des Conventions de Genève.
«La référence au droit international humanitaire dans la déclaration du Ministère arménien des affaires étrangères, le pays qui porte l'entière responsabilité des crimes odieux qu'il a commis au cours de la guerre, y compris ses récents crimes de guerre et crimes contre l'humanité, en bombardant délibérément la population pacifique azerbaïdjanaise et les infrastructures civiles non seulement à proximité de la ligne de front mais aussi celles situées loin de la zone de conflit en violation flagrante du cessez-le-feu humanitaire n'est rien d'autre que de l'hypocrisie», lit-on dans le communiqué.
Le ministère azerbaïdjanais a noté que l'Arménie devait cesser de tenter d'induire la communauté internationale en erreur en faisant des déclarations erronées.
«La réalité sur le terrain est claire et évidente; l'Arménie devrait renoncer à sa politique d'agression, retirer ses forces des territoires occupés de l'Azerbaïdjan et commencer à s'engager dans le règlement négocié du conflit. Plus tôt les dirigeants arméniens s'en rendront compte, plus le pays aura de chances d'éviter une nouvelle escalade et un bain de sang », indique le communiqué.
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