«Lorsque j'étais coprésident du Groupe de Minsk, il y avait un accord de principe entre l'ancien président arménien Serhe Sarkissian et l'actuel président azerbaïdjanais Ilham Aliyev. Il s'agissait d'un accord de principe mais sur un cadre avec plusieurs facteurs clés qui était une voie logique à suivre. Cependant, nous avons encore des détails très importants à finaliser et qui n'ont jamais été finalisés.
Lorsque le nouveau Premier ministre arménien Nikol Pashinyan après la révolution est arrivé au pouvoir, il était la voix fraîche, il avait un rapport réel avec le président Aliyev et il y avait de l’optimisme que les choses allaient avancer. En fait, après leur première rencontre fin 2018, les deux dirigeants ont fait une annonce conjointe disant que nous devons préparer notre peuple à la paix. Mais l'année suivante, je pense que le Premier ministre Pashinyan a subi de terribles pressions politiques chez lui, incapable de consolider sa révolution de velours et il s'est inversé et dit qu'il ne favorise plus ces principes préalablement convenus», dit-il.
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