La France, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, la Belgique et l'Estonie ont demandé la tenue d'une telle réunion sous la classification des «autres questions».
Commentant l'initiative de son pays, l'ambassadeur d'Allemagne en Azerbaïdjan, Wolfgang Manig, a déclaré qu'une telle mesure avait été prise puisque cette question était au centre de l'attention du ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas. Cette réunion vise à informer les membres de l'ONU de la situation réelle. Il n'est pas prévu d'adopter une résolution lors de la réunion.