Ces mesures prises par les dirigeants arméniens, ainsi que les activités illégales dans les territoires occupés de l'Azerbaïdjan, y compris la colonisation illégale et le changement des noms, servent à renforcer l'occupation.

C'est ce qu'a fait savoir Leyla Abdullayeva, porte-parole du ministère azerbaïdjanais des Affaires étrangères, tout en commentant la rencontre du ministre arménien des Affaires étrangères avec un représentant du soi-disant régime dans les territoires azerbaïdjanais occupés pour discuter du conflit.

«En tenant une réunion avec le régime illégal, l'Arménie, qui essaie de dépeindre cette soi-disant organisation comme une partie du conflit, ne fait que se tromper soi-même. La position de principe de la communauté mondiale sur l'élimination des conséquences du conflit arméno-azerbaïdjanais et de la politique agressive de l'Arménie est claire. En ce qui concerne le format des pourparlers, les parties des pourparlers, qui se tiennent depuis 1992 avec la médiation des coprésidents du Groupe de Minsk de l'OSCE, sont l'Arménie occupante et l'Azerbaïdjan qui est soumis à l'occupation. Comme dans tous les autres cas d'occupation, l'occupation de l'Arménie est temporaire et l'intégrité territoriale de l'Azerbaïdjan sera restaurée à l'intérieur des frontières internationalement reconnues et le retour des Azerbaïdjanais déplacés de leurs terres sera assuré».

L'essence des propositions des coprésidents du Groupe de Minsk sur la base d'un règlement progressif du conflit est le retrait des forces d'occupation des territoires occupés de l'Azerbaïdjan et le retour des PDI dans leurs foyers.

Azvision.az

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