“On a enterré un slip, maintenant c’est un string!”, se réjouit Roland Badin, agriculteur à Maubec et membre du groupe Isère Sols Vivants qui “promeut le non-labour des champs et les réductions des engrais chimiques”, précise le site d’info régional.
Conclusion? Le sol se porte bien car le coton a été entièrement consommé par ses micro-organismes. Seuls les éléments en plastique des sous-vêtements ont résisté à leur action.
“Ce n’est pas scientifique mais c’est révélateur et c’est quelque chose de visuel qui peut sensibiliser d’autres agriculteurs” estime Lætitia Masson, technicienne de la Chambre d’agriculture de l’Isère, qui coordonne l’expérience.
Le “test du slip” bientôt imposé aux agriculteurs bio? Il se montre en tout cas assez efficace sur ce point.
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