Selon lui, lorsque les couples décident d’avoir des enfants, ils tiennent compte de la situation économique : "Bien que les couples souhaitent avoir plus d’enfants dans la plupart des pays d’Europe de l’Est et du Caucase, la situation économique du pays ne le permet pas et ils s’attendent à ce que cette situation s’améliore".
M. Kulessa a souligné que le Fonds des Nations Unies pour la population et le gouvernement de l’Azerbaïdjan avaient une très forte coopération : "Le Fonds coopère avec l’Azerbaïdjan sur les questions de genre, la santé reproductive, les services sociaux et d’autres domaines. Le gouvernement azerbaïdjanais a un système de soins de santé parfait. Le gouvernement soutient l’accès des femmes aux services de soins de santé et nous nous en réjouissons. Le Fonds discute avec le gouvernement azerbaïdjanais des questions de planification familiale et de contraception. Ces discussions se déroulent parfaitement, de façon constructive et productive".
Notant que le Fonds des Nations Unies pour la Population fonctionne en Azerbaïdjan depuis 20 ans, le directeur a exprimé sa gratitude au gouvernement azerbaïdjanais pour son soutien actif à la mise en œuvre des projets de l’organisation : "Le Gouvernement de l’Azerbaïdjan est prêt à soutenir certains des projets du Fonds des Nations Unies pour la Population et nous sommes donc reconnaissants à l’Administration du Président de l’Azerbaïdjan pour la collaboration parfaite. Il s’agit d’une approche novatrice. Même les gouvernements des pays européens ne soutiennent pas directement les projets du Fonds qui répondent à des intérêts communs" a-t-il affirmé.
Kulessa a assisté à la conférence régionale intitulée "La dynamique démographique et l'expérience démographique en Europe de l’Est et en Asie centrale" tenue à Tbilissi, Géorgie.
L’événement a été organisé par le Fonds des Nations Unies pour la Population en Géorgie et des bureaux régionaux en Europe de l’Est et en Asie centrale avec le soutien du gouvernement géorgien.
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