L’Otan juge “profondément problématique” l’acquisition de ces missiles par un pays membre de l’Alliance.
Pour Washington, une telle décision est de nature à remettre en cause le programme de développement du chasseur F-35 par la société Lockheed Martin dans lequel a investi la Turquie.
Le mois dernier, le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré que la Turquie allait poursuivre sa coopération avec la Russie dans la fourniture de systèmes de défense aérienne au-delà de l’achat des S-400.
Il a ajouté que son pays allait s’associer à la Russie pour produire les futurs systèmes de défense S-500.