Cela représente une hausse de près de 11% par rapport aux 20,8 milliards dépensés en 2017.
Sur ces 23 milliards, 7,9 milliards ont financé des mesures à l'étranger afin d'inciter les populations à ne pas chercher à gagner l'Europe, ce qui représente une hausse de 16% par rapport à l'année précédente.
Alice Weidel, qui dirige le groupe parlementaire du parti Alternative pour l'Allemagne (AfD), eurosceptique et anti-immigration, a dénoncé «une coûteuse fête de bienvenue payée par les citoyens».
Reuters