«Nous sommes consternés par le fait qu'un Etat ait exigé le retrait de la référence à la santé sexuelle et reproductive pourtant agréée» dans de précédentes résolutions en 2009 et 2013, a déclaré l'ambassadeur français à l'ONU, François Delattre. «Nous déplorons que des menaces de veto aient été agitées par des membres permanents de ce Conseil pour contester 25 ans d'acquis en faveur des droits des femmes dans des situations de conflits armés», a-t-il ajouté.
Le Figaro