Des militaires ont installé des barricades dans plusieurs rues à proximité du complexe afin d'empêcher des véhicules de s'approcher, selon ces témoins. Depuis l'éclatement de la contestation au Soudan le 19 décembre, l'armée ne s'est pas immiscée dans la répression, menée par le puissant service de renseignement (NISS) et les forces de police anti-émeute.
Le Figaro