C’est ce qu’a déclaré Jean-François Mancel, membre honoraire du parlement, président de l’Association des Amis de l’Azerbaïdjan.
"Il a oublié qu’il n’appartient pas à la politique d’écrire l’Histoire, comme d’ailleurs le Conseil Constitutionnel l’a relevé à deux reprises en 2012 et 2017 car c’est la soumettre au poids des groupes de pression et à la démagogie électoraliste.
Il a tout autant oublié que les victimes d’un massacre peuvent également être les bourreaux d’un autre. Ce 26 Février l’Azerbaïdjan commémore pour la 27e fois le massacre de 613 des siens, civils, femmes, enfants, vieillards assassinés délibérément en 1992 à Khodjaly par les milices arméniennes comme l’a reconnu l’ancien président Sarkissian.
Si la France, par son président, veut commémorer les génocides qu’elle ait au moins le respect des victimes azerbaïdjanaises et qu’elle en instaure le juste souvenir. ", a-t-il indiqué.