« Recevoir le prix Albert Londres est une immense joie, mais c’est aussi l’honneur d’un énorme héritage d’excellence », a déclaré à l’AFP Elise Vincent. « J’espère pouvoir contribuer à le transmettre, à fortiori au milieu des bouleversements qui chahutent nos sociétés et notre écosystème médiatique ».
Le plus prestigieux prix de journalisme francophone, décerné en Turquie en signe de soutien aux journalistes turcs confrontés à une campagne de répression par les autorités, a également consacré Marjolaine Grappe, Christophe Barreyre et Mathieu Cellard dans la catégorie Audiovisuel, pour leur film «Les hommes du dictateur», sur le financement du régime de Corée du Nord, diffusé sur Arte.
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