"A la fin du mois, il y aura une réunion de l'Opep et ces sujets seront sur la table des négociations", a-t-il dit en réponse à un journaliste qui lui demandait si l'Irak comblerait le déficit d'offre attendu à la suite du rétablissement des sanctions sur les ventes de pétrole iranien.
Il a ajouté que l'affaire était politique et qu'il espérait qu'elle n'affecterait pas l'offre de pétrole des pays du Golfe. "Nous espérons que la région restera stable et personnellement, je pense que cette question n'affectera pas l'offre de pétrole du Golfe", a dit le ministre, ajoutant que l'objectif de l'Opep ne concernait "pas les prix mais la stabilité du marché et l'abaissement des niveaux de stocks".