Plus 511 civils sont morts, 321 civils sont disparus suite à cette agression. 131 localités sont occupées, plus de 58 000 azerbaïdjanais sont chassés de leurs foyers natals.
97 écoles, 9 écoles primaires, 116 bibliothèques, 43 hôpitaux, 42 maisons culturelles, 9 hôpitaux sont effacés, suite à l’agression. Le district de Kalbajar (2185 km2) est encore sous l’occupation arménienne. L’occupation de Kalbajar par les forces armées arméniennes à subit des dommages en somme de 703.5 milliards de roubles au budget azerbaïdjanais.
Les forces armées arméniennes ont profané le patrimoine culturel azerbaïdjanais. Des ponts historiques, mosquées, cimetières, musées ont été victimes du vandalisme arménien.
La résolution 822 de l’ONU, adopté juste après l’occupation, n’est pas encore exécutée, comme les trois autres résolutions pareilles. Les forces arméniennes doivent se retirer sans tarder des territoires azerbaïdjanais occupés, selon les textes des Résolutions.
Contrairement aux résolutions de l’ONU et de l’OSCE, les Arméniens ont commencé à s’installer dans le district depuis 1999.
L'escalade de la situation et l'attaque contre des civils azerbaïdjanais avec des armes lourdes le long de la ligne de contact par les forces armées arméniennes le 2 avril 2016 ont démontré une fois de plus que l'occupation des terres azerbaïdjanaises et la présence illégale des forces armées d'Arménie dans les terres saisies de l'Azerbaïdjan demeurent une menace majeure pour la paix et la sécurité régionales. En réponse aux attaques de l'Arménie, les forces armées de l'Azerbaïdjan ont pris des contre-mesures, qui ont abouti à assurer la sécurité des civils azerbaïdjanais et la libération des terres stratégiquement importantes de l'Azerbaïdjan de l'occupation.
L'Arménie doit comprendre que l'occupation des terres de l'Azerbaïdjan, y compris du district de Kalbajar, est temporaire. La seule manière de parvenir à un règlement durable est d'assurer le retrait inconditionnel et complet des forces armées arméniennes des territoires occupés de l'Azerbaïdjan, et les droits inaliénables des personnes déplacées internes pour leur retour dans leurs terres natales. La partie arménienne, au lieu de perdre son temps et de tromper son propre peuple et la communauté internationale, doit cesser sa politique d'annexion et de nettoyage ethnique et se conformer à ses obligations internationales et s'engager de manière constructive dans le processus de règlement du conflit.