Jusqu'alors, on partait du principe que l'agent pathogène était propagé par des rats et des puces de rats. Or, une équipe de scientifiques norvégiens a mis cette thèse en question, relatent les médias locaux.
Les chercheurs sous la houlette de Katharine Dean de l'Université d'Oslo affirment notamment que l'épidémie en question différaient à bien des égards d'autres épidémies survenues dans la foulée:
«Cette épidémie s'est déroulé autrement en comparaison avec les épizooties ultérieures associées sans aucun doute à des rats».
Ils soulignent en outre que la propagation du fléau était extrêmement forte et que «trop» de cas ont été enregistrés à l'époque.
Ainsi, ils sont arrivés à la conclusion que la pandémie n'aurait pas été propagée par des rats, mais par des puces humains, c'est-à-dire d'homme à homme, les insectes étant très répandus à l'époque. Le manque d'hygiène aurait également contribué au taux de mortalité très élevé.
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