Le but est qu'au moins deux engins cargo puissent atterrir sur Mars en 2022, avec pour mission principale de trouver la meilleure source d'eau possible. Ces vaisseaux transporteraient les infrastructures suffisantes pour assurer la survie sur Mars, avant que des gens n'y soient convoyés en 2024.
Ce projet serait financé notamment par le lancement de satellites et les services aux stations spatiales et missions sur la lune, a-t-il déclaré. Les vaisseaux de BFR serviraient aussi aux habitants sur Terre en ramenant la durée des trajets entre les principales villes à moins d'une demi-heure, a-t-il prédit. Un Bangkok-Dubaï prendrait 27 minutes, tandis que Tokyo serait à 30 minutes de distance de New Delhi.
«Une fois sorti de l'atmosphère, ça roulerait tout seul, sans turbulences, rien. Il n'y a pas de météo et on peut gagner des destinations longue distance en moins d'une demi-heure. Si on construit ce truc pour aller sur la Lune ou sur Mars, pourquoi ne pas aller aussi dans d'autres endroits sur Terre».
Atteindre et coloniser Mars est perçu par les entrepreneurs privés et publics comme la prochaine étape majeure de l'exploration spatiale et s'est imposé comme un thème majeur au congrès d'Adélaïde. (CNEWS Matin)
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