Selon Chris Vickery, ces données ont été stockées sur un serveur possédé par une société d’analyse de données, Deep Root Analytics, recrutée par le Parti républicain pendant la campagne présidentielle en 2016. La base de données a été mise en jour la dernière fois en janvier 2017, lorsque Donald Trump a pris des fonctions.
Le fondateur de Deep Root Analytics, Alex Lundry, a reconnu assumer la pleine responsabilité de la situation. «En se basant sur les informations que nous avons recueillies pour le moment, nous ne pensons pas que nos systèmes ont été piratés. Depuis que cet incident a attiré notre attention, nous avons mis à jour les paramètres d’accès et mis en place des protocoles pour en interdire l’accès», a-t-il déclaré au site Gizmodo.
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