Le ministre a noté que les mines poseés massivement dans les territoires libérés entravaient sérieusement la mise en œuvre des plans de réhabilitation et de reconstruction à grande échelle initiés par le gouvernement azerbaïdjanais, et surtout, entravaient la réalisation des droits de centaines de milliers de personnes déplacées internes à rentrer chez elles en toute sécurité et dans la dignité.
« Notre position de principe est que la communauté internationale devrait faire pression sur l'Arménie pour qu'elle abandonne son approche revancharde et profite plutôt d'une occasion unique d'assurer une paix et un développement durables. Il n'y a pas d'alternative à la pleine mise en œuvre des déclarations trilatérales, éliminant toutes les conséquences de la guerre et la construction d'un avenir prospère pour tous les pays et peuples de la région », a-t-il affirmé.
L'application du droit international est une condition préalable à la paix, à la sécurité et au développement, a ajouté le ministre Baïramov.
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