C'est ce qu'a écrit sur Twitter Hikmet Hadjiyev, assistant du président de l'Azerbaïdjan, chef du département de la politique étrangère de l'administration présidentielle.
«Les âmes de nos martyrs sont heureuses. Que dieu ait pitié de leurs âmes!», a noté Hadjiyev.
Le 20 janvier 1990, à 00h00, heure locale, les unités militaires stationnées quelques jours avant autour de Bakou sont entrées dans la ville en 5 directions. Les chars et les véhicules blindés détruisaient les barricades, les soldats tiraient sur les civils, même sur les ambulances et les maisons.
Les statistiques sanglantes de cette nuit :
147 personnes tuées ;
744 personnes blessées ;
841 personnes illégalement arrêtées.
25 femmes et 20 enfants figuraient parmi les blessés. Certains d’entre eux sont devenus handicapés.
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